La récente déclaration du Ministre de la Sécurité publique du Québec de vouloir avoir un registre des armes à feu québécois est absolument incroyable. Après les 2 milliards de dollars dépensés en pure perte par le gouvernement fédéral, voici maintenant la province de Québec qui veut se lancer dans cette aventure.
Des médias gênés de parler contre
Les médias abordent maintenant le sujet du registre des armes à feu du bout des lèvres. Les politiciens et les fonctionnaires continuent d'écouter uniquement les groupes de pression en faveur du registre, qui font la promotion de violations nombreuses à la Charte des droits et libertés. Il me semble inacceptable qu'autant de personnes utilisent une aussi grande malhonnêteté intellectuelle pour faire la promotion d'un tel registre.
Tout le terrain médiatique est occupé par cette coalition ''anti-arme'', qui mobilise les médias afin de faire la promotion du registre des armes à feu. Cette coalition possède une base solide et travaille avec de nombreux spécialistes des relations publiques. La majorité des citoyens ordinaires qui écoutent la télévision ne connaissent absolument rien aux armes à feu, ils sont relativement facile à influencer. Ces téléspectateurs n'entendent qu'un seul et unique discours basé sur la crainte des armes à feu, discours dans lequel on évite de présenter tous les aspects de ce débat.
Où sont donc tous ces chasseurs ?
Sans opposition, le registre québécois risque de passer comme une lettre à la poste. Mais où sont donc tous ces chasseurs qui s'expriment avec véhémence sur les forums de chasse et dans les soirées de chasse. Le seul choix de ceux-ci consiste à se mobiliser, à combattre et à ne pas attendre de solution-miracle. S'ils ne le font pas, le registre leur sera enfoncé de force dans la gorge, et ils n'auront qu'eux-mêmes à blâmer.
C'était mon opinion
André Nanook Simard
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